ÉBARBAGE ET SOUFFLAGE

Les opérations telles que l’ébarbage et le soufflage manuels

Dans tous les ateliers mécaniques, il existe des procédures qui doivent être nécessairement effectuées manuellement.

Le nettoyage des pièces dans les machines-outils de reprise ; en effet, une fois le cycle d’usinage de la tour ou du centre de travail fini, souvent les opérateurs nettoient la pièce des copeaux et des résidus d’huile lubro-réfrigérante avec un jet d’air pressurisé.  

Le meulage avec des outils manuels (ponceuses ou meules) qui permet la finition des imperfections restantes sur les pièces à peine finies d’être travaillées.

Toutes ces procédures créent différentes gênes dans les entreprises métallurgiques en termes de nettoyage de l’environnement de travail et de l’air. Nous allons examiner attentivement les deux cas.

Soufflage des pièces avec un pistolet à air comprimé

En effet, pendant le soufflage, avec la force de l’air pressurisé, les micro-particules d’huile et de métal qui stationnent sur la pièce travaillée sont rendues volatiles et donc être dangereusement inhalées. Les agents polluants sont en effet nébulisés dans l’atmosphère, alors que les parties les plus grossières pourraient finir dans les caissons des pièces déjà propres avec le risque de les faire rouiller. 
Enfin, le problème du dépôt des huiles sur le sol qui est rendu particulièrement glissant et dangereux et sur les machines-outils qui sont salies. 
La solution d’AR Filtrazioni à tous ces inconvénients est un banc aspiré !

Les ateliers (en particulier qui travaillent des minuteries à huile entière) qui utilisent depuis des années un banc/une cabine pour chaque machine-outil, présentent une meilleure organisation logistique du travail et une récupération ultérieure de l’huile recondensée avec récolte dans un baril approprié pendant la phase de soufflage, en sont entièrement complétés.

Ébarbage de pièces avec un outil pneumatique manuel ou avec des petites meules.

Dans presque tous les ateliers mécaniques, il existe un département dédié à l’ébarbage manuel ou bien un département entretien/réparation outils/,etc. Cette activité, en plus de créer beaucoup de poussière dangereuse pour la santé et salir le lieu de travail, peuvent causer un danger d’incendie dérivant de poussières de petite granulométrie de matériaux tels que l’aluminium ou le titane, potentiellement inflammables et explosifs. AR Filtrazioni avec plus de 35 ans d’expérience est capable d’apporter des solutions complètes à ces problèmes. 

Le problème des micro-brouillards/poussières s’ils ne sont pas traités

La volatilité des particules polluantes telles que les micro-brouillards, les micro-poussières et les aérosols, qu’ils soient solides ou liquides, entraîne et crée de nombreux problèmes aux entreprises, aux opérateurs et aux machines-outils.

En premier de manière négative sur la salubrité de l’air et sur les conditions d’hygiène sanitaires des opérateurs, en particulier au niveau respiratoire, puisque les particules ayant des dimensions inférieures à 0,3 micron peuvent atteindre les alvéoles pulmonaires et compromettre les voies respiratoires. Non seulement, au contact avec l’épiderme, elles créent des irritations cutanées, des dermatites et des rougeurs.

Du point de vue purement productif, la pollution en atelier dérivant des micropoussières et des brouillards d’huile réduit considérablement la productivité de l’établissement et plus particulièrement l’efficacité des machines-outils, puisque la stratification des agents polluants invalide la précision et la tolérance des instruments de mesure, avec pour conséquence grave de devoir augmenter les interventions d’entretien sur les composants les plus délicats.

Poussières, brouillards d’huile et aérosols, si non filtrés et épurés, rendent le sol glissant, salissent les surfaces des machines-outils et les parois du hangar, sur lesquelles elles se déposent.
Sans oublier les éventuelles possibles contraventions dérivant des normes en vigueur qui imposent une limite de concentration des brouillards d’huile sur le lieu de travail.
limite TLV Italienne 5 mg/m3
limite ACGIH plus restrictive 0,5 mg/m3