SOUDURE

Le problème des fumées pendant le processus de soudure

La soudure est le processus qui permet l’union physique/chimique de deux joints par la fusion de ceux-ci, ou par un métal d’apport. 
Ce matériau peut être le matériau composant les mêmes parties qui sont unies, mais peut également intéresser du matériau étranger, dit matériau d’apport : dans le premier cas, on parle de soudure autogène (avec ou sans matériau d’apport en fonction des cas), dans la seconde de soudure hétérogène ou brasage (dont la fusion intéresse uniquement le matériau d’apport).

Elle réalise un lien permanent qui se différencie d’autres connexions permanentes (par exemple le cloutage ou le collage) qui ne réalisent pas la continuité du matériau. Avec certains processus de soudure autogène, si exécutée correctement et selon certains principes, on garantit également une continuité presque totale dans les caractéristiques du matériau des pièces unies.

Dans son acception plus ample, la soudure faire référence à l’union à l’aide d’un apport de chaleur de différents matériaux entre eux, ou avec des matériaux similaires, du moment que l’on effectue communément pas exemple la soudure de matières plastiques. Même le verre peut être « soudé », mais la soudure par antonomase se fait entre métaux.

Principaux procédés

Soudure hétérogène ou brasage

La soudure hétérogène est communément dite brasage et permet d’unir les pièces en fondant uniquement l’alliage d’apport et en maintenant intacts les bouts du joint. Dans le cadre du brasage, on distingue :

• – brasage fort : température au-delà des 450 °C, mais en dessous du point de fusion des matériaux à souder ; le joint est préparé afin de favoriser la pénétration du matériau d’apport par capillarité
• – brasage doux : il est effectué avec des températures en dessous de 450 °C et en dessous du point de fusion des matériaux à souder ; le joint est préparé afin de favoriser la pénétration du matériau d’apport par capillarité
• – soudobrasage : les alliages d’apport sont des alliages fondant à des températures encore plus élevées de celles utilisées dans le brasage fort,  mais toujours inférieures au point de fusion des matériaux à souder ; le joint est préparé de manière similaire à la préparation pour une soudure autogène.

Toutes ces typologies de soudure produisent des particules polluantes très toxiques, en fonction de différents facteurs, tels que la température d’exercice ou des matériaux qui subissent la soudure. 
Il faut nécessairement prendre en considération ces facteurs avant de choisir la meilleure installation de filtrage et d’épuration AR Filtrazioni.

Le problème des brouillards d’huile-poussières-fumées, si elles ne sont pas traitées dans les ateliers mécaniques.

La volatilité des particules polluantes telles que les fumées industrielles, les brouillards d’huile et aérosol, qu’ils soient solides ou liquides, entraîne et crée de nombreux problèmes aux entreprises métallurgiques, aux opérateurs et aux machines-outils.

En premier de manière négative sur la salubrité de l’air et sur les conditions d’hygiène sanitaires des opérateurs, en particulier au niveau respiratoire, puisque les particules ayant des dimensions inférieures à 0,3 micron peuvent atteindre les alvéoles pulmonaires et compromettre les voies respiratoires. Non seulement, au contact avec l’épiderme, elles créent des irritations cutanées, des dermatites et des rougeurs.

Du point de vue purement productif, la pollution en atelier dérivant des micropoussières et des brouillards d’huile réduit considérablement la productivité de l’établissement et plus particulièrement l’efficacité des machines-outils, puisque la stratification des agents polluants invalide la précision et la tolérance des instruments de mesure, avec pour conséquence grave de devoir augmenter les interventions d’entretien sur les composants les plus délicats.

Poussières, brouillards d’huile et aérosols, si non filtrés et épurés, rendent le sol glissant, salissent les surfaces des machines-outils et les parois du hangar, sur lesquelles elles se déposent.

Sans oublier les éventuelles possibles contraventions dérivant des normes en vigueur qui imposent une limite de concentration des brouillards d’huile sur le lieu de travail.

limite TLV italienne 5 mg/m³
limite ACGIH plus restrictive 0,5 mg/m³